Le Vrai et le Faux

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LE CANNABIS Acces direct au ebook

"Le cannabis est la porte d'entrée dans les drogues."  

Attention à la désinformation !

Nous sommes loin des joints de 1968 : le cannabis contenait 0,6% à 6% de THC et il était consommé la plupart du temps en pétards qui tournaient à l'intérieur du groupe.

Ce qui a changé : 

Depuis 1995, le taux de THC a énormément augmenté (manipulations génétiques et cultures sous abris) : il peut atteindre jusqu'à 35%. Maintenant, les jeunes recherchent la "défonce".

Rapport de l’Académie des Sciences, France 1997 

"Les effets nocifs du cannabis sur la santé tant sur le plan psychique que physique existent. Le cannabis altère la mémoire en affectant le système cérébral servant à filtrer les informations et intervenant dans le processus de mémorisation. Le cannabis affecte le système reproductif. Le cannabis affaiblit le (La suite ....)





Quelques réflexions :

Docteur Koopman, directeur du centre de réhabilitation "l'espoir" en Hollande :

"Tout gros fumeur de cannabis ne va pas fatalement s'adonner à l'héroïne. Cependant, nous constatons que 90% des drogués à l'héroïne étaient, d'abord, des consommateurs de cannabis […] On assiste en même temps à une montée spectaculaire de la criminalité chez les jeunes, liée à l'abus de drogues dites douces."

Professeur Ashton, School of Neurological Sciences, University of Newcastle (GB)

"Le fumeur de cannabis à haute teneur en T.H.C. devient très demandeur rapidement. […]Des joints à haute teneur en T.H.C. développent chez le consommateur une accoutumance telle qu'il voudra une teneur de plus en plus élevée pour pouvoir planer comme à son habitude. […] Pour la première fois, nous voyons apparaître les symptômes de l'état de manque. […] En Hollande, 70% du cannabis consommé dans les coffee shops sont du Nederweit qui contient jusqu'à 35% de T.H.C., alors qu'en 1979, le cannabis en contenait 0,6% à 6%."

Courrier International (n°493 avril 00)

"Aux Pays-Bas, des voix de plus en plus nombreuses s'élèvent en ce moment contre la tolérance des autorités vis-à-vis de la toxicomanie."
La Hollande est le pays qui connaît le plus grand taux de criminalité d'Europe.

Claude Olievenstein (La Drogue, 30 ans après, octobre 2000) 

En 1970 : "…coexistaient deux groupes bien distincts : les amateurs de drogues douces, expérimentales, genre L.S.D. 25, qui n'entraînaient pas de dépendance, disait-on, où l'on conservait la maîtrise de soi, et les junkies, adeptes des drogues dures."  
LES DROGUES DOUCES N'EXISTENT PAS !
Nous connaissons aujourd'hui les terribles effets du L.S.D. sur la personne. En 1970, on accusait les personnes qui luttaient contre cette substance de diaboliser.





Extraits du livre « Et si on parlait du haschich », Marie-Christine d’Welles,
 
Presses de la Renaissance  

Clotilde, 17 ans, milieu social artistique, Nancy :
Quand on fume tout le temps, ça nous paraît impossible d’arrêter. Quand on a décidé de faire le premier pas, c’est à ce moment là qu’on se rend compte qu’on était loin de notre état normal. On a l’impression de redevenir nous-mêmes. Vous pouvez souligner « nous-mêmes ». (silence) C’est très difficile d’arrêter. »

Sabrina, 18 ans, milieu social cadre, Toulon :
Fumer ça démotive. On est intéressé par rien… par rien. Dès le matin, on est vaseux. La journée commence, on fume un p’tit joint… et ce sera pareil, on sera intéressé par rien et par personne… ça il faut le dire. »

Deux exemples en Europe :

En Suède, il y a eu libéralisation du cannabis de 1970 à 1980 : 
les résultats ont été la hausse de la toxicomanie et de la criminalité. 
De 1980 à 1990, une politique de répression a été mise en place : les jeunes fumeurs de haschich sont passés de 14,5% en 1972 à 3% en 1995.

Les Pays-Bas, qui ont légalisé le cannabis depuis des années ont actuellement le taux de criminalité d’Europe le plus élevé.

Remarque :

Il faut 6 à 8 mois à un consommateur régulier pour arrêter complètement sa consommation de cannabis. Ne jamais oublier qu’un consommateur contaminé par le cannabis est sous l’effet du produit. Il n’a donc plus la volonté de s'y soustraire.

Il faut diminuer puis arrêter sa consommation de soi-même. Seule l'abstinence permet un sevrage total et sans danger. Les antidépresseurs ne peuvent pas servir de substituts, ils compromettent gravement le sevrage.

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